Laure JANDET, une femme de Talents et de Cœur!
Laure JANDET, entourée de Jean Paul LUCAS de AH et de Bertrand ROGER directeur du Décathlon Atlantis à Nantes, prête pour un second départ;
Gérante de l’entreprise qu’elle a créée : ANDCO CONSEILS, spécialisée dans le Conseil aux entreprises, avec l’objectif d’intégrer l'humain et l'environnement au sein de chacune de ses missions.
Présidente de l’Association des Entreprises de la Chapelle sur Erdre (ECE) (Loire-Atlantique), qui compte plus de 100 entreprises adhérentes, investies sur les questions de développement durable.
Laure Jandet, ne se contente pas d’être une femme de Talents,
elle est aussi une femme de Cœur!
Après avoir passé un an Mexique, Laure prend gout aux voyages et décide de s'impliquer dans les actions solidaires. Elle s'engage un temps comme bénévole humanitaire à Calcuta dans l'association de mère Theresa et crée Essen-s-tielles.
Essen-s-tielles, c'est quoi? c’est :
- Partir à la RENCONTRE des citoyens et de leurs idées,
- Relayer leurs actions pleines de SENS,
- Fédérer via cette page sur les sujets de DEVELOPPEMENT DURABLE,
- Agir, une fois par an, en faveur d'une ACTION SOLIDAIRE
Sa dernière action en juin 2017 : après avoir fait le constat que les jeunes sont souvent sous-informés sur les bienfaits d'une nourriture saine et équilibrée, elle décide de financer des jardinières éducatives, pour que les jeunes, qui habitent en ville, puissent semer, voir grandir et déguster leur propre production,
Pour se faire elle a parcouru 1000 km en vélo, entre La Baule et Hendaye. afin de récolter des fonds pour financer ce projet éducatif.
Mais son grand cœur, l’a fait intervenir également aux cotés d’autres associations solidaires telle « Noël pour Tous », bien connue d’ qui soutien également cette association.
C’est ainsi que, en qualité d’Ambassadrice d' Laure part en UKRAINE visiter les établissements hospitaliers où nous avons livré du matériel.
Le départ de Laure est prévu le 30 juillet.
suivez son périple sur https://www.facebook.com/essenstielles/
Article Ouest France du 30 juillet 2018
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